kyoto japon L’aide de ma Mère pour Moi et Notre Vie changeante Bonjour, je souhaite une bonne lecture aux lecteurs d’histoires d’inceste. Comme vous pouvez le déchiffrer à partir du titre, l’histoire se déroule entre ma mère et moi, comme il est d’usage, permettez-moi de commencer par nous présenter tous les deux et de parler de nos caractéristiques physiques. Ma mère s’appelle Nagihan, elle a 40 ans. Pour vous parler de ses caractéristiques physiques, elle est blonde, mesure 1,75, pèse environ 75 à 80 livres. Parce que sa taille est grande pour une femme, elle n’a pas l’air grosse malgré son poids, elle est juste un peu louche. Une femme très belle, attirante et soignée. J’ai 16 ans, je m’appelle Honor. Je vais au lycée trois. Je suppose que cela ne vous intéressera pas beaucoup, mais laissez-moi aussi vous parler de mes propres caractéristiques physiques, ma taille est de 1,73 kg et j’ai 58 ans, bref, je suis une personne un peu maigre et maigre.

Mes parents ont divorcé il y a 5 ans, je vis avec ma mère, je suis enfant unique. Ma mère travaille comme fonctionnaire dans une école, et je peux dire que nous menons une vie confortable car mon père paie une bonne pension alimentaire pour enfants. Ma mère m’a toujours beaucoup aimé. Puisque papa et moi étions complètement seuls après notre rupture, j’étais le seul au centre de son monde pour lui maintenant. Ma mère est une femme confortable en général, tel est son style de vie. Ce réconfort, combiné à son extrême affection pour moi, a toujours dépassé les limites d’une relation mère-fils normale Découplée entre nous. Par exemple, ma mère m’embrasse sur les deux joues et sur les lèvres depuis aussi longtemps que je me souvienne, et cela n’a pas changé avec l’âge, elle m’embrasse encore souvent sur les lèvres. A part ça, elle ne porte vraiment rien sauf des chemisiers décolletés, des robes, des pantalons moulants, des jupes courtes en termes de vêtements de toute façon. Bien sûr, ce sont quand vous allez au travail ou quand vous sortez.

Elle est beaucoup plus à l’aise à la maison, surtout en été quand il fait chaud, elle porte un soutien-gorge sur un petit short ou un T-shirt sans soutien-gorge assez long pour couvrir ses hanches, et souvent seulement une culotte en dessous. Parce que j’ai grandi sans frontières de cette façon, je me promène principalement dans la maison en ne portant que des boxers. En bref, nous vivons d’une manière qui peut être qualifiée de nue lorsqu’il n’y a pas d’étranger dans la maison.

Ce confort ne concerne pas seulement ces choses non plus. Par exemple, il n’a pas peur de s’habiller et de se déshabiller à côté de moi, donc il ne vient pas se déshabiller surtout à côté de moi, bien sûr, mais même si je suis dans la pièce, il ne va pas dans une autre pièce et se déshabille. Par exemple, je n’oublie jamais que j’avais 12 ou 13 ans, je dormais avec ma mère la nuit dans le lit de ma mère. (on dormait ensemble comme ça de temps en temps depuis que maman et papa se sont séparés) Je me suis réveillé le matin et maman portait ses vêtements pour aller travailler devant l’armoire de l’autre côté du lit, son dos était tourné vers moi, elle n’avait rien d’autre que sa culotte à imprimé léopard en dessous.

Quand elle s’est tournée vers moi, elle a vu que je m’étais réveillée, et elle a juste souri et a dit: “es-tu réveillé, bébé, bonjour”, sans même ressentir le besoin de couvrir ses gros seins avec sa main. Bien sûr, ce n’était pas une situation anormale pour moi, puisque j’ai beaucoup rencontré des sites similaires auparavant, je viens de vous donner cet exemple pour expliquer la situation entre nous. Déc. De la même manière, j’étais à l’aise avec lui, quand il était dans ma chambre, je m’habillais et me déshabillais sans hésitation, il voyait partout, y compris ma bite. En fait, une fois que je rentrais de jouer au ballon dehors et que je transpirais, j’allais tout de suite aller dans ma chambre, me déshabiller et me jeter dans la salle de bain. Ma mère balayait ma chambre à ce moment-là, j’ai dit: “salut maman” et j’ai commencé à me déshabiller. La dernière fois que j’ai enlevé mon caleçon, ma mère m’a regardé et m’a dit: “Chérie, tu n’as pas les poils sur ta pipe?”Les poils dans cette zone et dans mon aisselle commençaient tout juste à sortir, et je ne savais pas que je devais avoir ces poils, ni comment les avoir.

– Comment ça, devrais-je l’acheter?
+ Bien sûr, bébé, sinon la saleté s’accumulera décemment entre ces poils
– Mais comment vais-je l’obtenir, Maman, si je me coupe?
– Tu n’arrêteras pas, chérie, je vais t’apprendre.

Ensuite, nous sommes allés aux toilettes ensemble et avec un rasoir, il a magnifiquement coupé tous les poils sur et autour de ma bite, puis il l’a lavée et rincée, la faisant mousser magnifiquement avec du savon. Puis il a mis un petit baiser sur mon “pipi”, comme il l’appelait, a souri et a dit “ ” regardez, c’est arrivé, et nulle part n’a été coupé”. Bien sûr, c’était plus qu’un baiser sensuel, c’était le tendre baiser d’une mère à la chatte de son petit fils.

Probablement, ce que je vous ai dit jusqu’à présent vous a donné une idée suffisante de notre relation. Déc. Passons maintenant à la partie où commence l’histoire principale.
J’étais juste au début de mon adolescence, vous savez les conversations entre hommes à cet âge. Déc. Une période où tout le monde grimpe le mur droit, pour ainsi dire, par excitation. Bien sûr, j’ai été inclus dans cette conversation, que je le veuille ou non, et j’avais entendu parler de la “fusillade de trente et un” pour la première fois dans ces conversations. J’ai décidé de l’essayer, un jour où j’étais seul à la maison, je me suis déshabillé, allongé sur mon lit et j’ai commencé à filmer. Je pensais aux belles filles de la classe. Selon nos parents, j’étais censé jouir au plus tard dix ou quinze minutes plus tard, j’étais très excité que ce soit la première fois.

Mais au fil du temps, j’ai réalisé qu’il y avait un problème. Parce que ça fait dix minutes, quand je dis que ça fait vingt minutes, ça fait une demi-heure. J’avais mal au bras, mais toujours pas de clics. Au bout de deux heures, je ne pouvais que réussir, c’était un sentiment incroyable, incroyablement agréable. Cependant, cela avait pris trop de temps que nécessaire et j’étais très fatigué, j’étais couvert de sueur. Je ne comprenais pas pourquoi cela prenait autant de temps et j’ai décidé de faire des recherches sur Internet. Après avoir regardé un peu, j’ai vu qu’il s’agissait d’un problème rare; “éjaculation tardive”. Si vous le souhaitez, vous pouvez également rechercher et regarder sur Internet. Oui, beaucoup de gens ont le problème inverse, mais mon problème était l’éjaculation tardive. J’ai essayé encore quelques fois les jours suivants, mais le résultat était toujours le même, je me fatiguais et j’arrêtais au bout d’un moment parce que je tirais depuis longtemps, et mes couilles me faisaient mal et palpitaient parce que je ne pouvais pas éjaculer. Vous connaissez aussi cette situation, vos testicules sont pleins, le corps veut maintenant les jeter.

D’une part, cela donne du plaisir, augmente votre libido, mais à un moment donné, cela cause aussi des problèmes, car après tout, c’est un besoin, et je n’arrive pas à descendre et à me détendre.
Cette situation commençait à me bouleverser beaucoup maintenant, mon visage était toujours maussade dans la maison. Bien sûr, ma mère, qui me voit comme tout, dont le plus grand objectif dans la vie est mon bonheur, a immédiatement réalisé cette situation et a commencé à se demander pourquoi. Je passais constamment en disant ”ce n’est rien” ou quelque chose du genre, mais il était très difficile de résister aux questions persistantes de ma mère. Encore une fois, alors que j’étais allongée sur mon lit dos contre dos, ma mère est entrée dans ma chambre, elle portait une jupe en lin blanc bien au-dessus du genou, une blouse en satin à manches zéro avec un décolleté profond. Il s’est assis sur le bord de mon lit.

– Bébé, qu’est-ce que tu fais?
Je ne suis pas du tout assis comme ça, Maman.
– Tu ne veux toujours pas me dire ce qui s’est passé?
+ Il n’y a rien de mal, Maman.
Chérie, écoute, tu peux tromper tout le monde dans cette vie, mais tu ne peux pas me tromper. De toute façon, dis-moi ton problème, je suis ta mère, si tu ne vas pas me le dire, à qui vas-tu le dire?
J’étais silencieux, la tête baissée.
– Si tu as peur de te fâcher ou quelque chose du genre, tu sais que je ne serais pas en colère contre toi pour quoi que ce soit.
+ Non, maman, ça n’a rien à voir avec le fait d’être en colère. Ce n’est pas quelque chose que je peux vous dire.
– comment ça? Ou c’est un truc de fille ou quelque chose comme ça? Est-il amoureux ou est-il mon petit prince?
+ Non, non, ce n’est pas comme ça non plus.
– Ecoute, mon cher garçon, quoi que ce soit, ça te bouleverse, et je ne laisserai pas ça arriver. Tu me le dis vite, alors voyons.

+ Non, maman, je ne peux vraiment pas te le dire, alors c’est un peu plus un problème lié aux gars.
– Que veux-tu dire exactement des hommes, bébé, peux-tu t’ouvrir un peu plus, bébé?
J’ai répondu en me taisant à nouveau. Après que ma mère soit restée silencieuse pendant un moment, aussi:
– Écoute, chérie, si tu veux parler des hommes, de la sexualité, tu peux me dire qu’il n’y a rien à craindre de novembre. Si je suis ta mère, je ferai de mon mieux pour résoudre un problème. Tu es mon seul atout dans cette vie, tu es mon plus précieux, tu es mon tout.
Je suis redevenu silencieux, ma mère a assumé:
– Est-ce quelque chose comme ça, je veux dire, un problème de sexualité?
+ J’ai presque dit, ma tête est devant avec honte.
– Comment veux-tu dire, quel est exactement le problème?
+ Soit maintenant maman, les hommes font quelque chose, soit tu sais
– Que font-ils
+ Quand avec ses mains…
– Tu essaies de dire masturbation?
+ Ee..j’ai dit oui, bégayant.
– Je veux dire, bien sûr, tu es à l’adolescence, la plupart des gens peuvent y réagir, mais à cet âge, je pense que ces choses sont normales à cet âge. Et quel est le problème, ma chère?
+ Soit des amis parlaient, j’ai aussi entendu parler d’eux

je voulais essayer.
– Eh bien?
+ Je l’ai fait pendant un moment, mais ça n’est pas arrivé.
– Qu’est-ce qui n’est pas arrivé?
+ Quelque chose de liquide coule, alors que cela ne s’est pas produit. Mais c’est arrivé après environ 2 heures, mais j’étais très fatigué. Et puis j’ai cherché ça sur Internet ou quelque chose comme ça, ce n’était pas normal que ça prenne autant de temps.
– En fait, oui, ce n’est pas normal que ça prenne autant de temps. C’est peut-être parce que vous l’avez fait pour la première fois, l’avez-vous essayé plus tard?

+ J’ai réessayé la même chose, ça n’arrive pas avant 1,5 à 2 heures. Quand je marche trop longtemps, je suis fatigué et j’arrête. Et quand ça ne coule pas, je n’arrive pas à me détendre, j’ai mal aux couilles. C’est pour ça que je déprime.
– Mon Dieu, mon Dieu, je suis surpris aussi, pourquoi une telle chose arriverait.
– je ne sais pas.
Nous étions tous les deux silencieux pendant un moment, puis maman a dit “ ” Sors et essaie, et laisse – moi voir s’il y a quelque chose d’anormal.”

– Que veux-tu dire, pendant que tu le regardes?
+ Oui, qu’est-ce qui ne va pas avec ça, chérie, je suis ta maman, tu ne fais pas ça normalement, mais il y a quelque chose d’anormal, et en tant que maman, je me demande, je suis inquiète. Il n’y a pas de quoi avoir honte, chérie.
Quand il n’y avait aucun mouvement de ma part, ma mère a d’abord enlevé mon pantalon de survêtement avec sa main, puis mon caleçon. Ma bite était déjà retournée. Maman a dit: “Allez, bébé, je t’ai dit qu’il n’y avait rien à craindre.”Embarrassé, j’ai attrapé ma bite avec ma main et j’ai commencé à le faire d’avant en arrière. Mais rien n’avait changé. Une demi-heure s’était écoulée, ma mère a dit: “Il n’y a toujours pas de mouvement.”
– Non, Maman.

+ Je me demande si cela aurait un effet si vous regardiez quelque chose ou quelque chose?
– Que veux-tu dire, quelque chose?
+ Quand il y a des vidéos ou quelque chose comme ça sur Internet, dans le style du porno ou quelque chose comme ça.
Encore une fois, j’avais entendu parler de ces incidents pornographiques dans des conversations avec mes amis et ainsi de suite, mais je ne les avais jamais ouverts et regardés, j’étais encore plus gêné quand j’en ai entendu parler par ma mère.
– Je ne sais pas, maman, je ne l’ai jamais regardé avant.
+ Essayons de cette façon.